Jean Lavoué poèmes
Jean Lavoué auteur de nombreux ouvrages récit,
essais , recueils poétiques touchant à la littérature et à la spiritualité vit
dans le Morbihan. Il se consacre essentiellement à l’écriture poétique et crée
au printemps 2017 une maison d’édition, «L’enfance des arbres» http://www.enfancedesarbres.com/.
Le poète offre à ses lecteurs en cette fin d’année
quatre recueils qui représentent quatre années d’écriture partagée sur son blog
« L’enfance des arbres » et sur sa page facebook https://www.facebook.com/jean.lavoue.9
« Ces nouveaux recueils viennent compléter
« Ce rien qui nous éclaire » paru en 2017 & « Chant
ensemencé » paru en 2018.
Les voici :
- « Levain
de ma joie »
- « Chant ensemencé » version
augmentée
- « Nous sommes d’une source »
- « Fraternité des Lisières »
A découvrir sur le site des éditions « L’ Enfance des arbres »
Ces poèmes nous rappellent que « nous sommes des enfants
aux pieds nus », dans un monde qui nous prie de « faire place en nous
à l’homme ». « N’est-ce pas nous qui sombrons /Si nos fils meurent
sous nos rivages ? » questionne le poète qui croit « à l’amour neuf »,
« à la fraternité des oubliés », « au rayonnement des visages »…
et nous fait pressentir ce monde où « nous serons tous roi d’humanité »,
« bénisseurs de toute vie ».
Jean Lavoué poèmes
Nous planterons des arbres jusqu’au bord du couchant
Et nous communierons à la joie des lisières
Nous lèverons un hymne tout au bout de la nuit
Un orchestre végétal un printemps aux frontières
Nous tendrons nos bourgeons nos branches fraternelles
Et ferons taire les cris les illusions guerrières
De ceux qui avaient cru assiéger l’infini
Les mains rougies des crimes en son nom accomplis
D’un bord à l’autre des cieux nous fêterons les noces
De la fugue divine au bras de cette terre
Et cette paix légère tout au fond de nous-mêmes
Et croirons le soleil quand il se lèvera
Silence lumineux à l’aube de nos yeux
Site Jean Lavoué L'Enfance des arbres
Jean Lavoué sur Monde en poésie, Ce rien qui nous éclaire
Nous lèverons un hymne tout au bout de la nuit
Un orchestre végétal un printemps aux frontières
Nous tendrons nos bourgeons nos branches fraternelles
Et ferons taire les cris les illusions guerrières
De ceux qui avaient cru assiéger l’infini
Les mains rougies des crimes en son nom accomplis
D’un bord à l’autre des cieux nous fêterons les noces
De la fugue divine au bras de cette terre
Et cette paix légère tout au fond de nous-mêmes
Et croirons le soleil quand il se lèvera
Silence lumineux à l’aube de nos yeux
Site Jean Lavoué L'Enfance des arbres
Jean Lavoué sur Monde en poésie, Ce rien qui nous éclaire